samedi 14 mars 2015

J’ACHETE SUR LE NET OU DANS UN MAGASIN TRADITIONNEL ?




Un phénomène indéniable et intrigant se produit depuis quelques temps : les clients sont devenus fans 
de l’achat sur le net !
Et ce n’est pas prêt de changer … à moins que … 
Les clients trouvent beaucoup de qualité à cette façon « de faire ses courses » : gain de temps, souplesse 
du concept, moins de tentation dans les achats, possibilité de commander quand on veut (à 4h00 du matin 
si l’envie vous en prend) et comme on veut (pourquoi pas dans votre bain !).
Aujourd’hui, quasi tout le monde a un smartphone, quasi tout le monde est adepte des nouvelles technologies 
(le nombre de tablettes ne fait qu’accroître) et les moyens des télécoms font que tout est fait pour faciliter 
vos achats via internet, les rendre accessibles partout et tout le temps.
Pourtant le magasin physique a des atouts que la toile ne pourra jamais lui retirer ; mais la réalité est telle 
que les distributeurs traditionnels doivent rivaliser d’imagination et de réflexion pour ne pas perdre sa clientèle 
et disparaître.
Car c’est ce qui va se passer si les gérants des commerces dits classiques ne réagissent pas !
Il ne suffit plus de faire des promos, d’être aimable avec ses clients, d’être moins cher que le concurrent situé 
3 portes plus loin.
La réflexion doit aller  plus loin, beaucoup plus loin …
Bien que la concurrence entre sites marchands soit difficile à contrôler car beaucoup plus sournoise 
et arrivant sans crier garde, les « vendeurs par internet » sont devenus des mastodontes de la distribution.
Ils sont incontournables  et le réflexe d’achat ou de comparaison via la toile est désormais un fait de société.
Ces nouveaux distributeurs ont compris comment fidéliser leur clientèle, notamment en diversifiant leurs offres, 
en leur proposant également des bons prix et des services ++.
Même s’il est plus compliqué pour un site marchand de repérer les offres concurrentielles 
de leurs concurrents, de lutter contre la froideur d’un outil informatique, ils happent tout de même chaque jour 
la clientèle des magasins physiques.



Et d’autres technologies vont encore plus loin : l’hologramme.
Il sert à tout : du concert de Mickael Jackson par exemple à la publicité (le pilote automobile britannique 
Lewis Hamilton a même « rejoint » son propre hologramme à l’occasion d’un lancement produit 
d’une célèbre marque d’articles de sport), des journaux télévisés aux défilés 
de mode.
On peut donc facilement imaginer que la fiction rattrapera la réalité et que demain, devant votre écran, 
vous « dicterez » vos courses à un conseiller virtuel mais visible, qui échangera avec vous, vous conseillera.

Alors est-ce la mort assurée du magasin que l’on trouve dans chaque ville, village, centre commercial ? 
Rien n’est moins sûr !
Mais  comment faire pour inverser cette nouvelle habitude d’achat ou tout du moins la freiner ?
Quels moyens utiliser ? Comment agir ?

Car oui, il y a des solutions !

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